“[La “crise requins”] C’est la pire privation de liberté qu’on ait connue, mise à part, bien sûr, l’esclavage.” (Jean-François Nativel, le Jir, 25/09)
Il a toujours le sens de la mesure, JFN. Ne pas pouvoir se baigner partout parce que c’est dangereux, c’est évidemment pire que le blocus de la Seconde guerre mondiale, ou la pratique du maloya dans les années soixante.